Afrique : Égypte...de l'antiquité à nos jours !

Salut à tous,  

   Un autre pays de l'Afrique du Nord, bouleversé par un changement de régime, et qui semble continuer à se chercher un moyen d'améliorer son devenir... et les malades mentaux, dans ce magma de perturbations quotidiennes, que deviennent-ils ?

   ¨L'Égypte — officiellement République arabe d'Égypte — est un pays couvrant une superficie de 997 739 km² (soit 1,8 fois plus grande que la France ou deux fois l'Espagne), qui s'étend sur l'extrême nord-est du continent africain et sur la péninsule du Sinaï où il est limité à l'est par l'État d'Israël et l'Arabie Saoudite; au sud, le pays est limité par le Soudan et à l'ouest par la Libye (voir la carte). Étant donné que l’Égypte s’étend à l’extrémité orientale de l’Afrique du Nord et se prolonge sur le continent asiatique par le Sinaï fait en sorte que cette situation géographique détermine son appartenance au Proche-Orient. La capitale du pays est Le Caire¨... (Lire la suite )

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/afrique/egypte.htm

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* L'Antiquité et les malades mentaux !

   ¨C’est sur un papyrus que l’on trouve la première description connue du cerveau dans lequel les Egyptiens plaçaient les fonctions mentales.

   Mais la maladie mentale était quant à elle attribuée à des causes surnaturelles. Il a été retrouvé sur un papyrus la description d’une formule pour chasser le diable du corps des enfants malades de délires. Les Egyptiens ont aussi connu ce que les Grecs appelèrent plus tard l’hystérie : si l’on en croit le papyrus égyptien de Kanun datant du XX^ème siècle avant notre ère, certains états pathologiques sont dû au déplacement de l’utérus considéré alors comme un être vivant autonome, capable de se déplacer librement dans le corps humain. Cette théorie de l’utérus dit migrateur ou baladeur sera développée plus tard, notamment par les Grecs. Les Egyptiens, quant à eux, soignaient cette “maladie” par des fumigations du vagin¨.

http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/UVLibre/0001/bin43/antiqu.htm

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L’enfer d’une guérison impossible !

   ¨Il s’est enfermé dans une tour d’ivoire. Son quotidien est comme un grand mystère. Amr, 27 ans, metteur en scène qui a fait une dépression nerveuse, souffre également de schizophrénie. Une maladie qui l’a obligé à séjourner à l’hôpital d’Al-Khanka pour suivre un traitement antidépressif durant six mois. Aujourd’hui, il a repris une vie normale. Mais son expérience l’a marqué profondément.

D’après la nouvelle loi pour la santé psychique, un malade peut regagner son domicile après avoir été hospitalisé entre 3 à 6 mois dans une institution spécialisée s’il n’est pas gravement atteint et ce, pour l’aider à reprendre une vie normale. « Si l’état d’un malade se stabilise, il peut continuer son traitement à domicile — surtout pour les malades non dangereux —, c’est l’idéal pour eux », explique le docteur Abdel-Hakim Diab, directeur de l’hôpital d’Al-Khanka, qui a participé avec une équipe de psychiatres à l’intégration de ce système dans la réforme de la nouvelle loi sur la santé psychique. Amr fait partie de 1,7 million de malades mentaux que compte l’Egypte, selon une étude effectuée par le secrétariat général de la santé psychique¨... (Lire la suite)

http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2011/6/22/socp0.htm

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  * Un parcours pour éclairer !

¨Directrice du centre d’enseignement spécialisé Pour une vie meilleure, Bernadette Labbad s’occupe de très jeunes handicapés mentaux et se bat pour leur apporter la meilleure éducation possible, dans un nouveau modèle d’enseignement.

     La vie de Bernadette Labbad, directrice du centre d’enseignement spécialisé Pour une vie meilleure, n’est pas de tout repos. Elle ne l’a jamais été d’ailleurs. Avec un regard vif et brillant, des cheveux poivre et sel, Bernadette Labbad est présente dans son bureau, tous les jours, au Collège De La Salle, prête à écouter les requêtes des petits chérubins. « Prendre soin des enfants est une vocation innée. J’aimais, durant les heures creuses en préparatoire, aider l’enseignante au jardin d’enfants ». Et d’ajouter : « L’attachement à mon école est très important pour moi. J’étais aimée de tous ceux qui m’entouraient. D’ailleurs, je garde le contact avec beaucoup de mes amies d’enfance »¨... (Lire la suite)

http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2011/11/16/visa0.htm

Pégé